Au matin je me réveille au bras du dernier vieillard amassé dans le quartier, suis ces temps-ci en plein essai de connexions des corps et je dois bien avouer que ce n'est pas sans me rappeler ces longues nuits d'hiver où papa venait s'allonger auprès de moi, pour me réchauffer qu'il disait, de ces très longs moments où la main étouffer les bruits et où le corps me donnait du tout-froid au-dedans. Ça pour sûr que "je t'aime" mon papa à moi il me l'a dit une centaine de fois.