Au réveil je prends la sage décision d'enfiler l'habit adéquate à mon occupation de la journée, à savoir la tenue obligatoire que je ne m'obligeais plus à mettre, le bleu de travail de l'usine où ça sent le plastique trop chaud. Au soir je rentre la fesse à l'air, un trou, béant on dit… A coup sur que sans mon bleu obligatoire, j'aurais perdu des plumes…