On dit quand la vie se répète c’est la même chanson, oh faut pas le prendre mal messieurs dames si pour une fois j’ose l’ouvrir en public pour faire part de ma lassitude, pas de ma faute si suivre le troupeau c’est plus dans mes cordes, alors mes cons plus questions de m’emmerder avec vos pérégrinations je vous informe par la présente que je vous écouterez quand vous aurez quelques chose de nouveau à me faire croquer et d’ici là ne surtout pas s’aviser de m’approcher car il se pourrait que quelques gouttes de sang soient versées. Et oui, aux grands maux les grands moyens…