Jour où seul le pouce vit quand la bouche se clos du trop lourd à énoncer, quand le corps fait le piquet de grève au-dedans du cimetière qui vivait encore hier, quand le cerveau à décider de jeter l’éponge en attendant les jours meilleurs à qui je ne laisserai pas le temps d’arriver. Alors Monsieur-mon-pouce dis moi, combien de temps vas-tu encore tenir ?