Ce jour le trajet en transport sur roues de celui qui ne permet pas de me cacher rapport au manque de place et au rapprochement des corps qui m’oblige à tourner mon moi vers la seule issue possible et envisageable à savoir le petit trou que je creuse du regard tant bien que mal à travers la vitre bien sale qui m’aide déjà à me planquer du monde extérieur. Nom de Dieu c’est tout un bordel…