Jour où on paraphe, on griffonne le nom barré d’un coup de crayon et surtout on n’oublie pas se plaindre. Ça pour sûr, c’est le plus important aujourd’hui faut pas lésiner sur les mots à employer : plains-toi, plains-toi, plains-toi ma jolie il était temps d’aller brasser le qui-pu-d’ici, que même ma deuxième personnalité pourtant pas tellement d’une grande agressivité elle a rien compris au pourquoi de la passivité prolongée… Bah oui on fait ce qu’on peut et… Yes we can !