Trajet retour tout tracé vers mon-chez-moi-bien-à-moi c’est de l’indécision au-dedans, pas moyen de comprendre les images et mots en désordre qui me passent par le crane, nom de Dieu suis pas foutu de trouver un havre de paix où que je pose le pied. Encore heureux que mon voisin de droite sois tout de plastique et de frontière en pierre, un appui récolté pour replonger dans mon mutisme à moi de celui qu’on me reproche de privilégier à l’humain. Ai bien peur de ne pas être guérie malgré la sueur que j’ai laissé couler sur les remparts extérieurs de mes points de repère. C’était à prévoir…tant pis.