L'opportunité d'écrire ça peut se saisir au moins une fois par jour

L'opportunité d'écrire ça peut se saisir au moins une fois par jour...

Récits journaliers d'un personnage féminin inspirés d'observations et de moments de vie complètement détournés du sens réel afin qu'on y perde toute notion d'une quelconque ordinaire et sommaire réalité. Assemblage de mots tordus dans tous les sens, avalés recrachés et enfin ici proprement déposés. Ou pas.

10 avril 2011

10 Avril : Jour de première bougie funeste


Y’a des anniversaires qui font pousser la misère interne et ça gratte tout-là ou il faut pas dans les conduits. Y’a beau souffler sur les plaies dans l’idée que ça se tasse -pourquoi pas après tout- mais c’est pas de la réussite. Ça non. Y’a que la grande flamme de la bougie qui s’éteint et qui manque pas de te rappeler que tes beaux jours en ont fait de même... c’est dégueulasse…la chienne !