Un jour à donner de la franchise, de celle qu’on regrette presque d’avoir libérée à la réflexion. Encore toi mon salaud et ta représentation du « moi », un coup à me retenir de laisser aller la mécanique interne à toutes les dépréciations possibles. Aujourd’hui je peux en faire trop, bien plus qu’il ne faut, la permission est accordée c’est mon jour de chance ! Oh ça oui parfois l’avis-fait-le-moine, le vocabulaire pas-propre-sur-lui s’en réfère au corps qui le profère, alors OUI ! Donnez de la voix, lapidez la mauvaise langue que je suis, j’offre pour les quelques secondes à venir la permission de recracher par rebonds légitimes les saloperies que j’envoie en flux continu… Après tout je ne mérite moi-même guère plus que l’image que je renvoie.