Déjeuner en altercation avec Monsieur mon Seigneur, je lui dis que le lieu de culte a été sagement repensé et qu’enfin je m’y retrouve dans la boite à prière, que ça me fait un peu plus d’air pur à respirer, de branches en hauteur démesurées derrière lesquelles me planquer pour brûler mes paumes de mains en adjurations sincères. C’est bien de ça dont-il s’agit, donner à chacun ce qu’il vient chercher. Lui il me dit : « doucement demie-fidèle, tu ferais bien déjà de couvrir ces espaces de peau en surplus, on n’est pas dans un bordel ici…c’est un oubli à ne pas commettre vois-tu ». A ça je lui réponds que si c’est sur ce terrain qu’il veut me mener je ne vais pas m’en détourner, s’en suit des « tu peux te foutre au cul tes rites et tes voûtes » du tac au tac « je t’emmerde » qu’il me dit le con : ah…Monsieur mon Seigneur et moi depuis les dernières querelles on a su trouver notre mode à nous. Au sortir c’est sourires cloués par crucifixion de part en part. On s’est retrouvés.