L'opportunité d'écrire ça peut se saisir au moins une fois par jour

L'opportunité d'écrire ça peut se saisir au moins une fois par jour...

Récits journaliers d'un personnage féminin inspirés d'observations et de moments de vie complètement détournés du sens réel afin qu'on y perde toute notion d'une quelconque ordinaire et sommaire réalité. Assemblage de mots tordus dans tous les sens, avalés recrachés et enfin ici proprement déposés. Ou pas.

16 novembre 2011

08 Novembre : Jour du "je t'aime" paternel


Au matin je me réveille au bras du dernier vieillard amassé dans le quartier, suis ces temps-ci en plein essai de connexions des corps et je dois bien avouer que ce n'est pas sans me rappeler ces longues nuits d'hiver où papa venait s'allonger auprès de moi, pour me réchauffer qu'il disait, de ces très longs moments où la main étouffer les bruits et où le corps me donnait du tout-froid au-dedans. Ça pour sûr que "je t'aime" mon papa à moi il me l'a dit une centaine de fois.