Ce jour je m'éloigne petit à petit avec le pincement au cœur d'avoir à laisser derrière moi une parcelle de terrain qui m'a vu grandir et à laquelle je ne peux pas rester attachée. Alors je fais le signe de la main, laisse couler la faiblesse le long d'une joue (deux ce serait trop, presque du chiqué on dirait) et je reprends ma route sans me retourner.