L'opportunité d'écrire ça peut se saisir au moins une fois par jour

L'opportunité d'écrire ça peut se saisir au moins une fois par jour...

Récits journaliers d'un personnage féminin inspirés d'observations et de moments de vie complètement détournés du sens réel afin qu'on y perde toute notion d'une quelconque ordinaire et sommaire réalité. Assemblage de mots tordus dans tous les sens, avalés recrachés et enfin ici proprement déposés. Ou pas.

05 mars 2011

05 Mars : Jour de putasseries sournoises


Réveil et continuité passés à m’écraser ramper et distiller de la concession suis assez conne pour n’en vouloir qu’à moi-même profitons-en c’est jour d’auto bénédiction ! Demander la charité à l’attrape-couillons qui m’a adressé les grands sourires, offert la satisfaction d’une vie à-deux et partager sans sourciller la fine couverture à la belle époque où les mots ne dépassaient pas encore la pensé c’était clairement pas, après-coup, la chose à tenter mais que voulez-vous la matière grise a manquée c’est bien pour cette raison qu’il m’a attrapé fais de moi sa putain par soumission et j’y suis rentrée dans la case des filles à même pas payer, à surtout plus fréquenter, de celles qu’on appelle pour se vider sans s’attacher c’était-gros-comme-une-maison tant pis pour ma gueule.