L'opportunité d'écrire ça peut se saisir au moins une fois par jour

L'opportunité d'écrire ça peut se saisir au moins une fois par jour...

Récits journaliers d'un personnage féminin inspirés d'observations et de moments de vie complètement détournés du sens réel afin qu'on y perde toute notion d'une quelconque ordinaire et sommaire réalité. Assemblage de mots tordus dans tous les sens, avalés recrachés et enfin ici proprement déposés. Ou pas.

06 mars 2011

06 Mars : Jour d’abandon


Bien le bonjour à tout le monde messieurs dames le cha-pouls à abaisser à l’entrée je vous prie et, cela va de soit, « sang » possibilités de remettre le doigt dessus à la sortie. Le joli parcours à espérer et la fin de route paisible à vous souhaiter : un mélangement des « maux » d’une damnée-si-con qu’elle finira les pieds-devant l’évier à ne plus savoir très bien où nettoyer et entre laquelle de ces quatre-planches s’installer. L’heure du c-d à écouter mais pas si vite l’a-main doucement, nul besoin de gaspiller son temps en accélération sang-veines pas la peine que je hisse-quatre-scies c’est plus que de litres à faire les-coups pour le bain de minuit. Chez-Tran le vif pas de « peau » les huit-cons sont désormais trop bien taillés et plus moyen de tenir tête pour en sortir, c’est du laissé aller et cette fois  il est bien l’heure du c-d à prononcer pardon pour…mais que-li-re ? Je rêve et tire vers le rance…